Clinique Vétérinaire Voltaire

L'animal au coeur de notre attention

VETERINAIRE A MONTROUGE



VÉTÉRINAIRE A MONTROUGE

La plupart des médecins vétérinaires travaillent en milieu clinique et traitent directement les animaux. Ces vétérinaires peuvent être impliqués dans une pratique générale, traitant des animaux de tous types; ils peuvent être spécialisés dans un groupe spécifique d'animaux tels que les animaux de compagnie, le bétail, les animaux de zoo ou les équidés; ou peut se spécialiser dans une discipline médicale étroite comme la chirurgie, la dermatologie ou la médecine interne. Comme pour les autres professionnels de la santé, les vétérinaires sont confrontés à des décisions éthiques concernant les soins à prodiguer à leurs patients. Les débats actuels au sein de la profession incluent l'éthique de certaines procédures considérées comme purement cosmétiques ou inutiles pour des problèmes de comportement, tels que le dégriffage des chats, l'amarrage des queues, le recadrage des oreilles et l'écorçage des chiens.

Après avoir terminé ses études universitaires, le titre de Docteur medicinae veterinariae (Dr. med. Vet.) S'acquiert par la rédaction d'une thèse scientifique. Comme en médecine humaine, il est possible de travailler sur la thèse tout en poursuivant ses études. De troisième cycle, il est obligatoire de poursuivre la formation vétérinaire et la possibilité de se qualifier en tant que vétérinaire spécialisé. Sur le plan international, il existe des cours de formation continue de troisième cycle pour le Diplomate of the European College ou Diplomate of the American College. "DVM" signifie "Diplôme en médecine vétérinaire" en Allemagne et a été décerné en RDA après la réforme universitaire des années 1970. L'un des objectifs de cette réforme universitaire était d'assimiler les qualifications médicales aux qualifications techniques. Alors qu'un diplôme d'ingénieur et un diplôme ont été décernés pour les diplômes techniques d'un diplôme universitaire ou universitaire, un diplôme de médecine a été associé à la délivrance d'un doctorat après avoir terminé une thèse scientifique. Donc, «docteur» était un titre d'emploi, pas un diplôme universitaire. Pour un doctorat dans d'autres disciplines, seuls un deuxième travail scientifique et plusieurs publications spécialisées devaient être prouvés. Ce statut spécial de l'enseignement médical et vétérinaire devrait être levé. Après la réforme universitaire et jusqu'en 1989, l'étudiant en médecine et en médecine VÉTÉRINAIRE A obtenu son diplôme avec le titre de "médecin" ou "vétérinaire", et après avoir terminé un travail scientifique, il a obtenu un diplôme et un "diplôme de médecine vétérinaire" ". C'est pourquoi ce nom n'apparaît que sur les signes d'entraînement d'un certain groupe d'âge. Pour le titre "Dr.", un deuxième travail scientifique était nécessaire, ce qui était surtout difficile à réaliser dans des conditions pratiques.

Les vétérinaires et leurs cabinets peuvent être spécialisés dans certains domaines de la médecine vétérinaire. Les domaines d'intérêt comprennent:

Vétérinaire pour animaux exotiques - Généralement considéré comme comprenant les reptiles, les oiseaux exotiques tels que les perroquets et les cacatoès, et les petits mammifères tels que les furets, les lapins, les chinchillas et les degus.

Médecine de conservation - Étude de la relation entre la santé animale et humaine et l'information environnementale.

Pratique des petits animaux - Habituellement chiens, chats et autres animaux de compagnie / animaux domestiques comme les hamsters et les gerbilles. Certaines pratiques sont des pratiques canines ou félines uniquement.

Pratique des animaux de laboratoire - Certains vétérinaires travaillent dans un laboratoire universitaire ou industriel et sont responsables du soin et du traitement des animaux de laboratoire de toutes espèces (impliquant souvent des bovins, des porcins, des félins, des canins, des rongeurs et même des animaux exotiques). Leur responsabilité n'est pas seulement pour la santé et le bien-être des animaux, mais aussi pour appliquer un traitement humain et éthique des animaux dans l'établissement.

Montrouge est une commune française située dans le département des Hauts-de-Seine en Vétérinaire pour chien en Île-de-France, dans l'arrondissement d'Antony, au sud de Paris, et fait partie de la Métropole du Grand Paris créée en 2016. Concernée par le périmètre d'une installation nucléaire, la commune est membre de la commission locale d'information auprès du CEA de Fontenay-aux-Roses. En 2012 avec 23 628 habitants/km2, Montrouge était la cinquième commune la plus dense de France après Levallois-Perret, Vincennes, Le Pré-Saint-Gervais et Saint-Mandé. Dans le passé, Montrouge s'étendait au nord jusqu'à Montparnasse. Plusieurs événements ont ponctué l'évolution de la commune au xixe siècle :

la construction d'un mur d'octroi en 1863 ;

la création de fortifications sous Louis-Philippe Ier (qui suivaient le tracé du boulevard périphérique actuel) qui scinde la commune en deux : le Petit Montrouge au nord (sur une partie du Paris actuel du 14e arrondissement), le Grand Montrouge au sud ;

les annexions successives de Paris ;

les reprises de territoires sur Vanves, Arcueil, Bagneux ;

le démantèlement du parc du château du duc de la Vallière.

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :

Communes limitrophes de Montrouge : 14e arrondissement de Paris Malakoff - Montrouge - Gentilly - Châtillon - Bagneux et Arcueil               

La mention la plus ancienne de Montrouge qui soit parvenue figure dans un pouillé imprimé en 1626. C'est celle d'un accord daté de 1194 sur le montant de la redevance annuelle, cinq sous, due à l'abbaye de Saint Martin des Champs par le prieuré de Saint Lazare pour un terrain qui avait été légué à celui ci, au lieu dit Rubeo monte, littéralement « à Rougemont ». Le fief est encore nommé ainsi dans le rôle des feudataires de Philippe Auguste, en 1211. La forme Monte rubeo, littéralement Mont rouge, apparaît en 1261 dans le testament d'un chanoine de l'abbaye de Chelles, Jean de Monmouth, mais la forme latine ancienne Rubeo monte restera d'usage dans les documents ecclésiastiques. Beaucoup de fiefs, comme celui de Montfaucon, le fief Baudoin et d'autres, tirent leur nom de celui de leur seigneur. Pour Montrouge, il faudrait dans cette hypothèse supposer que ce seigneur éponyme serait Guy le Rouge14, seul chevalier de la Vétérinaire pour chien en à porter un tel sobriquet. Deux générations après celui ci, à la fin du xiie siècle, le sobriquet semble enfin avoir été attaché aux successeurs du fief, dont il serait alors devenu le toponyme. Les toponymistes s'accordent aujourd'hui pour voir dans le type Montrouge une référence à la couleur rougeâtre du sol d'une élévation ou colline. Montrouge est en effet situé sur un plateau dont l'altitude maximum est de 85 m avec des affleurements argileux qui donnent une couleur rougeâtre au sol. Un lieu-dit de la commune est d'ailleurs appelé Les Fosses Rouges. Homonymie avec les nombreux Rougemont de formation plus précoce. Les Montlhéry, famille à laquelle appartient le seigneur supposé éponyme Guy le Rouge, sont une branche cadette des Montmorency, initialement alliés des Thilbaldiens, lesquels disputent jusqu'en 1284 la prééminence aux Capétiens. Or les terres de Guy le Rouge, homme longtemps influent à la Cour apparenté à son rival Guillaume de Garlande et à la reine Bertrade, tombent en commise pour dettes15 dans les mains du jeune capétien Louis le Gros, qui a succédé à son père en 1108 après avoir divorcé de Lucienne de Rochefort, la fille de Guy. Le relatif silence des sources sur Montrouge jusqu'à la fin du xiiie siècle8 laisse supposer que l'endroit est resté longtemps peu habité. Comme beaucoup de villages de la banlieue, c'est une campagne où les bourgeois, au premier chef ceux de la Grande boucherie, font engraisser le bétail et cultiver le blé qui nourrissent la ville. Il s'agit alors, au sortir immédiat du Paris d'alors, de ce qui correspond à la commune d'aujourd'hui mais aussi, et principalement, de ce qui constitue la plus grande partie du 14e arrondissement actuel, le terrain du cimetière du Montparnasse inclus. Le nom de Montrouge apparaît pour la première fois en 1194 sous la forme latine de « Rubeo Monte ». L’origine du nom fait controverse auprès des historiens : certains évoquent le surnom d’un seigneur de Montrouge du XIe siècle Guy dit le Rouge à cause de sa chevelure, d’autres le fait que Montrouge se trouve situé sur un plateau (qui sépare la vallée de la Seine de celle de la Bièvre) et que la terre de son sol est par endroit argileuse et de couleur rougeâtre. Cette deuxième théorie semble plus vraisemblable dans la mesure où la dénomination d’un ancien lieu-dit des Fosses rouge l’atteste.

XIIIe-XVIe siècles : Il s'agit alors d'un hameau situé le long du chemin de Gentilly à Vanves (rue Gabriel Péri). Montrouge au Moyen-Age était domaine seigneurial et ecclésiastique. L’un des premiers seigneurs de Montrouge fut Robert de Montrouge vassal du roi Philippe-Auguste.

Les premiers habitants de Montrouge étaient des bûcherons et des paysans qui cultivaient des céréales et de la vigne à partir du XIVe siècle, ainsi que des meuniers dont les moulins ont commencé à apparaître sur la plaine de Montrouge et ont subsisté jusqu’au XIXe siècle. Montrouge était essentiellement développée le long du chemin, devenu à la période contemporaine rue Gabriel-Péri et rue Barbès. Autre voie structurante de la paroisse, la route d’Orléans est depuis l’époque romaine une voie importante reliant Paris à Orléans.

XVIIe-XVIIIe : Montrouge comprenait deux châteaux dont l’un, construit au XVIIe siècle, était situé près de l’actuelle place de la Libération. L’avenue de la République qui était à l’époque l’avenue du Château permettait d’accéder à l’entrée principale. Il était entouré d’un parc qui s’étendait au sud jusque sur les territoires de Bagneux et Arcueil de part et d’autre de l’allée principale qui devient à l’époque contemporaine l’avenue de la République. Parmi les châtelains de Montrouge, nous pouvons citer le marquis de Châteauneuf de l’Aubespine, garde des sceaux de Louis XIII. Le second château fut construit à l’emplacement de l’actuel hôtel de ville par César de La Baume Le Blanc, duc de la Vallière petit-neveu de Louise de la Vallière favorite de Louis XIV. Le comte de Guerchy, lieutenant général et ambassadeur de France à Londres sous Louis XV fut également un hôte de Montrouge, dont l’épouse était châtelaine au début de la Révolution.

Carriers et carrières : Si l’on veut citer un métier traditionnel présent à Montrouge sous l’Ancien régime, il faut évoquer celui de carrier, que la ville célèbre encore aujourd’hui. En effet, c’est parce que les sous-sols parisiens avaient déjà été utilisés que l’on commença à creuser le sol de Montrouge afin d’y extraire la pierre durant plus de 300 ans jusqu’au XIXe siècle. Cette pierre calcaire servit notamment à construire des monuments et habitations parisiens. L’extraction se réalisait par des puits d’extraction mais également à ciel ouvert à l’instar de celles sises au lieu-dit les Hauts-Mesnils. Ainsi le sous-sol de Montrouge comprenant à l’époque le Petit Montrouge (l’actuel XIV arrondissement), mais aussi le Grand-Montrouge était creusé de galeries d’une dizaine de kilomètres aujourd’hui bouchées. Les nombreux accidents entraînant des éboulements à la surface et des décès de carriers incitèrent les autorités à établir un plan des carrières dont le premier date de 1813 et à les fermer progressivement au XIXe siècle.

 

Vétérinaire pour chien en               Île-de-France

Vétérinaire pour chat en Hauts-de-Seine

Arrondissement   Antony

Cabinet vétérinaire dans la Métropole du Grand Paris

Maire

Mandat Étienne Lengereau

2016-2020

Code postal          92120

Code commune  92049

Démographie

Gentilé   Montrougiens

Population

municipale           50 260 hab. (2017 en augmentation de 2,76 % par rapport à 2012)

Densité  24 280 hab./km2

Géographie

Coordonnées       48° 49′ 02″ nord, 2° 19′ 19″ est

Altitude Min. 67 m

Max. 85 m

Superficie             2,07 km2

Élections

Départementales Canton de Montrouge

(bureau centralisateur)

Législatives          Onzième circonscription