Clinique Vétérinaire Voltaire

L'animal au coeur de notre attention

VETERINAIRE A L'HAY-LES-ROSES



VÉTÉRINAIRE A L'HAY-LES-ROSES

Le vétérinaire (anglais: vétérinaire américain, vétérinaire ou Royaume-Uni vétérinaire) est un vétérinaire et un expert dans le domaine de la médecine vétérinaire ou vétérinaire. Le mot vétérinaire vient du vétérinaire anglais et du vétérinaire espagnol, tous deux dérivés du Lating veterinae, qui signifie «animaux de charge». En français, il est connu sous le nom de vétérinaires. Thomas Browne a utilisé le mot vétérinaire pour la première fois en 1646. Un vétérinaire est un type de médecin qui traite des animaux. La plupart des vétérinaires traitent les animaux domestiques tels que les chats, les chiens et les lapins. Ils manipulent également du bétail dans des fermes, des animaux sauvages dans un zoo ou un centre de sauvetage d'animaux. Pour être qualifié de vétérinaire, vous avez besoin d'un diplôme, ce qui prend généralement 5 ans à temps plein. Un niveau en biologie ou un diplôme national BTEC doit être complété afin de pouvoir étudier pour un diplôme. Un vétérinaire peut se spécialiser dans le type d'animaux ou dans un domaine médical comme la chirurgie ou la dermatologie. Un vétérinaire (d'un vétérinaire latin), également connu sous le nom de vétérinaire ou de médecin des animaux plus informel, est une personne dont la profession (médecine vétérinaire) est d'aider les animaux qui ont des problèmes de santé, soit par la prévention ou un traitement clinique, prévenir la transmission des maladies des animaux aux humains et agir de manière préventive. travail de santé dans le domaine alimentaire. Claude Bourgelat (1712-1779) était en 1761 recteur de l'Académie royale de Lyon, en France, où il enseignait l'équitation, l'utilisation des armes, les mathématiques et la musique, entre autres. Il était même considéré comme l'un des meilleurs cavaliers d'Europe. Bourgelat s'intéresse depuis longtemps à l'anatomie et aux maladies du cheval. Cela l'a conduit à fonder une formation vétérinaire (L'art vétérinaire, 1761) pour protéger et préserver les chevaux et autres animaux d'élevage. En février 1762, Bourgelat réussit à convaincre les autorités économiques qu'il y avait une base pour établir une institution vétérinaire (école). Celle-ci s'appelait initialement Guillotière, mais elle a changé son nom en Ecole Royale Vétérinaire en 1764. L'année suivante, c'est-à-dire en 1765, Bourgelat ouvre également une école vétérinaire à Maisons-Alfort. Elle existe toujours et est donc "la plus ancienne école vétérinaire du monde". Après l'ouverture de l'école d'Alfort, des écoles vétérinaires ont commencé à apparaître ailleurs en Europe. Cette formation de leur propre école de vétérinaires a permis de séparer les agents de santé humaine et vétérinaire. Ces derniers temps, les humains et les animaux étaient souvent traités par les mêmes médecins, de nos jours les médecins humains et les vétérinaires ont leurs pratiques séparées par une autorisation / loi, où ils ne sont pas autorisés à travailler en dehors de leur propre espèce / espèce.

L'Haÿ-les-Roses est une commune située dans la Vétérinaire pour chien en Île-de-France, en France. Devenue sous-préfecture en 1972, la ville est ainsi un chef-lieu d'arrondissement du Val-de-Marne. L'Haÿ-les-Roses est l'une des quatre communes françaises comportant un y-tréma dans leur nom (avec Moÿ-de-l'Aisne, Faÿ-lès-Nemours et Aÿ-Champagne). Ses habitants sont appelés les L'Haÿssiens. La commune de L'Haÿ-les-Roses est implantée dans l'Ouest du département du Val-de-Marne. Localisation de L'Haÿ-les-Roses dans le Val-de-Marne. Communes limitrophes de L'Haÿ-les-Roses : Cachan, Villejuif, Bourg-la-Reine, Vitry-sur-Seine, Antony, Fresnes, Chevilly-Larue. Elle est jouxtée par les communes suivantes : à l'ouest, par Bourg-la-Reine et Antony (Hauts-de-Seine) ; au nord, par Cachan et Villejuif ; à l'est, par Vitry-sur-Seine ; au sud-est, par Chevilly-Larue ; et au sud, par Fresnes.

Le toponyme vient d'un nom de domaine gallo-roman Laiacum (795), Lagiacum (829) « domaine de Laius »3, qui évolue régulièrement en Lay /laj/ puis est écrit L'Haÿ avec déglutination d'un article inexactement supposé. C'est en 1914 que L'Haÿ obtient de devenir « L'Haÿ-les-Roses », honorant ainsi la notoriété et l'exceptionnelle beauté de sa roseraie créée par Jules Gravereaux entre 1892 et 1894 (la Roseraie du Val-de-Marne). Après vote du conseil municipal en date du 22 octobre 1912 (qui dénonce une homophonie avec la commune de Lagny, distante d'une cinquantaine de kilomètres, qui deviendra Lagny-sur-Marne en 1971), un décret présidentiel est signé le 10 mai 1914. Le président Raymond Poincaré et Jules Gravereaux étaient amis, ce qui fait qu'on ne sait pas qui du maire, du rhodologue ou du président a eu l'initiative de ce changement de nom, qui intervient pour le vingtième anniversaire de la roseraie. Le délai entre la décision du conseil municipal et le décret peut être expliqué par le fait que les rosiers florissant en mai, l'événement aurait été organisé début mai.

Le plus ancien document concernant les terres de Laiacum est une charte de Charlemagne datée de 798 et affirmant les droits de l’Église de Paris sur ce lieu. La légende ecclésiastique locale affirme que ces droits remonteraient à Clovis Ier, roi des Francs converti au christianisme après la fin de l’Empire romain d'Occident. Clovis aurait distribué une partie importante des terres de l’actuelle banlieue parisienne, dont le domaine de Laiacum, à l’Église de Paris. L’expansion en France du domaine royal au détriment des pouvoirs nobiliaires et ecclésiastiques, empêche ceux-ci de constituer des États comme dans le « Saint-Empire » germanique, et, au xiie siècle, Lay passe du domaine de l’Église à celui du Roi. Au cours des siècles, le petit village de Lay se développe à partir de la rue des Tournelles, la plus ancienne de la commune. Les rois de France y font parfois escale lors de leurs fréquents voyages entre Paris et Orléans (leur nuitées étant Dourdan et Étampes). L’édit du 25 juin 1787 réunit en une seule municipalité les paroisses de Chevilly et Lay. Le 14 avril 1789, un cahier de doléances commun est rédigé pour les deux paroisses. Si la loi du 14 décembre 1789 crée les communes, ce n’est que le 17 mars 1793 que les deux anciennes paroisses sont érigées en communes distinctes. Durant le siège de Paris, et plus particulièrement le 29 novembre 1870 l'Haÿ sera l'enjeu d'un combat de diversion dans le cadre de la grande attaque de Champigny. Le 20 mars 1927, Nestor Makhno réunit un congrès international anarchiste dans la ville. L'ensemble des participants est arrêté par la police. La commune participe à l'essor industriel de la Vétérinaire pour chien en parisienne en développant des petites fabriques liées à la nature argileuse de son sol : plâtrières, carrières et briquèteries qui employèrent plusieurs centaines de personnes jusque dans les années 1950. Durant les « Trente Glorieuses », elle voit s'élever, notamment sur le plateau du Longboyau, des cités ouvrières dédiées principalement aux employés des PTT, comme dans la commune voisine de Chevilly. Au début du xxie siècle, la commune tombe, bien malgré elle, sous les feux de l'actualité avec l'affaire politique Sève6,7 et avec l'incendie criminel d'une tour HLM qui fit 18 morts dans la nuit du 3 septembre au 4 septembre 2005. Depuis, L'Haÿ-les-Roses s'est engagée dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 219, consistant entre autres à faire revivre les briques et les matériaux naturels jadis extraits de ses carrières, bons isolants thermiques, comme en témoigne le tout nouvel hôtel de ville.

Le terme « vétérinaire » dérive du latin veterinarius, relatif aux bêtes de somme. Le mot « vétérinaire » date de l’époque romaine. Il apparaît pour la première fois dans les œuvres de Columelle, au premier siècle de notre ère Medicina veterinaria ou Bestia veterina, signifiant bête de somme. En effet, le traité de Columelle Res rustica aborde la question des maladies du gros bétail. Zooïatre est un synonyme qui n'a jamais été très utilisé et tombé en désuétude. Un docteur vétérinaire dispose d'un vaste champ de compétences. En médecine générale, il intervient en milieu rural (animaux d'élevage agricole) ou en milieu urbain (animaux de compagnie) et parfois en milieu mixte. Certains peuvent avoir des compétences en ce qui concerne les nouveaux animaux de compagnie (NAC). Le vétérinaire peut également être spécialisé dans un domaine : ophtalmologie, chirurgie, dermatologie, biologie médicale, comportement... En France et en Europe, des diplômes universitaires permettent au vétérinaire d'acquérir certaines spécialités reconnues.

L’Haÿ-les-Roses est située pour moitié sur la vallée de la Bièvre et pour moitié sur le plateau du Longboyeau qui jusqu’au début du XXe siècle lui confère une agriculture particulière. Le village de L’Haÿ s’est construit à la jonction de la vallée et du plateau, avec un large panorama sur la vallée de la Bièvre. L’Haÿ devient, dès le XVIIe siècle, un lieu de villégiature pour les riches parisiens qui y font édifier des maisons de plaisance. Des fouilles, réalisées dans l’entre-deux-guerres, ont révélé l’existence, à l’est de la ville, d’un habitat néolithique. De l’époque gallo-romaine datent les vestiges de portions d’aqueduc, relevées au sud-ouest du village, vers 1900. Après l’occupation romaine, Clovis, aurait distribué une partie importante des terres de l’actuelle banlieue parisienne à l’Eglise de Paris, dont le territoire de notre ville. Le plus ancien document confirmant les droits de l’Eglise de Paris sur les terres de Laiacum est une charte de Charlemagne datée de 798. Le nom de Laiacum ou Lagiacum, qui désigne, au Moyen Age, notre ville, pourrait évoquer un ancien propriétaire de ce territoire, un Romain du nom de Lagius. Au cours des siècles, le petit village de « Lay » se développe, à partir de la rue des Tournelles, la plus ancienne rue de la commune et devient L’Haÿ. La commune participe à l’essor industriel en développant des petites fabriques liées à la nature argileuse de son sol : plâtrières, carrières et surtout 2 briqueteries qui employèrent plusieurs centaines de personnes jusque dans les années 1950. C’est en 1914 que L’Haÿ devient L’Haÿ-les-Roses, en référence à la notoriété de sa nouvelle roseraie, créée par Jules Gravereaux.

Blason : Un habitant de la commune eut l'idée d'offrir un étendard à une société locale et d'y faire broder les attributs retraçant l'histoire du pays. Ceux-ci furent adoptés comme armes de la commune en mars 1913. La grappe de raisin rappelle que le village fut planté presque exclusivement de vignes jusqu'en 1880. La fontaine représente celle offerte à la commune en 1833 par M. Bronzac. Le monument reproduit celui donné par la ville de Paris, en commémoration de la défense héroïque de L'Haÿ en 1870. La rose rappelle la Roseraie, créée par Jules Gravereaux en 1899. Enfin, la devise "Se distingue dans la paix comme dans la guerre" synthétise l'histoire communale : la guerre de 1870, et le renom fourni par la Roseraie.

En France, le diplôme d’État de docteur vétérinaire est délivré à bac+7, soit 2 années de préparation aux concours national d'accès au études vétérinaires (classe préparatoire en filière BCPST ou TB, faculté de biologie, DUT, BTS, ou BTSA) suivies de 5 années d'études en école vétérinaire.

Les 4 écoles nationales vétérinaires françaises sont, par ordre de création :

VetAgro Sup, sur le campus vétérinaire de Lyon, à Marcy-l'Étoile, 1re école vétérinaire créée en 1761 par Claude Bourgelat ; Seule école française accréditée par l'AVMA-CEO

L'école nationale vétérinaire d'Alfort, à Maisons-Alfort, en banlieue parisienne ;

L'école nationale vétérinaire de Toulouse ;

L'école nationale vétérinaire, agroalimentaire et de l'alimentation, Nantes-Atlantique (aussi appelée Oniris), à Nantes.

La Mairie et ses œuvres patrimoniales : A l’origine, la mairie était située au niveau de la place de l’église. Au début du XXe siècle, la municipalité décida pour l’agrandir, d’acheter au n° 41 de la rue du Val, une ancienne maison de la communauté de Saint Nicolas du Chardonnet. Cette propriété a appartenu à Pierre Claude Amyot, avocat au Parlement, puis de 1819 à 1881 à la famille Flouquet. Jean-Baptiste Flouquet, maire de L’Haÿ réaménagea la maison. En 1903, la commune acquit la bâtisse et en 1906, les travaux d’aménagement, menés par l’architecte Guilloux, sont à peu près achevés. En 1929, les locaux étant trop exigus, la surélévation d’un étage sera effectuée ainsi que l’habillage du bâtiment en briques pleines. Les ailes abriteront d’un côté le dispensaire Dispan de Floran et de l’autre, la loge du concierge et le poste de police. La mairie restera en l’état pendant près de 60 ans avant une modernisation importante il y a quelques années pour permettre au bâtiment de continuer à accueillir les services municipaux.


Vétérinaire pour chien en               Île-de-France

Vétérinaire pour chat en Val-de-Marne

Cabinet vétérinaire

Arrondissement   L'Haÿ-les-Roses

(chef-lieu)

Cabinet vétérinaire dans la Métropole du Grand Paris

Maire

Mandat Vincent Jeanbrun

2014-2020

Code postal          94240

Code commune  94038

Démographie

Gentilé   L'Haÿssien

Population

municipale           31 204 hab. (2017 en augmentation de 0,12 % par rapport à 2012)

Densité  8 001 hab./km2

Géographie

Coordonnées       48° 46′ 45″ nord, 2° 20′ 14″ est

Altitude Min. 42 m

Max. 109 m

Superficie             3,90 km2

Élections

Départementales Canton de L'Haÿ-les-Roses

(bureau centralisateur)

Législatives          Septième circonscription