Clinique Vétérinaire Voltaire

L'animal au coeur de notre attention

VETERINAIRE A CHATILLON



VÉTÉRINAIRE A CHATILLON

La plupart des vétérinaires travaillent en tant que vétérinaires résidents ou employés dans un cabinet vétérinaire ou une clinique vétérinaire. L'éventail des activités est principalement déterminé par le type d'animaux à traiter: si dans le secteur agricole, le bétail est principalement soigné (pratique des grands animaux), les pratiques de petits animaux en zone urbaine s'occupent principalement des animaux domestiques, des animaux domestiques et des oiseaux. En plus des petits animaux exotiques, les poissons sont moins importants dans les soins vétérinaires en raison de leur formation (Ritter, 2007). D'autres pratiques se spécialisent, par exemple B. sur la chirurgie, les diagnostics de laboratoire, la pathologie ou les zoos. Dans les années 2000, une nouvelle spécialisation est apparue dans le domaine de la médecine des petits animaux et des chevaux. La proportion de cliniques vétérinaires a augmenté régulièrement. Des procédures de diagnostic modernes telles que l'IRM, la TDM et l'échographie Doppler se sont également établies ici au cours des dix dernières années avant 2004. La gestion d'un coffre de médecine vétérinaire en Allemagne découle du droit de dispensation des vétérinaires praticiens. Les vétérinaires facturent des frais pour leurs services aux propriétaires d'animaux; en Allemagne, les tarifs minimaux sont fixés dans le barème des honoraires des vétérinaires (GOT). Les frais ont été augmentés pour la dernière fois le 27 juillet 2017, après 9 ans sans augmentation, de 12%. Une maladie grave de l'animal peut donc représenter une charge financière considérable pour laquelle une assurance appropriée peut être souscrite. La formation vétérinaire est un diplôme universitaire dans la plupart des pays du monde. En Allemagne, en Autriche et en Suisse, le diplôme universitaire vous autorise à utiliser le titre professionnel de vétérinaire et à obtenir un permis d'État pour exercer votre profession (autorisation d'exercer la médecine). Aux États-Unis, le diplôme est docteur en médecine vétérinaire (DVM), tandis qu'au Royaume-Uni, en Irlande et en Inde, un baccalauréat est obtenu.

Un vétérinaire (vétérinaire), également connu sous le nom de vétérinaire ou de médecin vétérinaire, est un professionnel qui pratique la médecine vétérinaire en traitant les maladies, les troubles et les blessures chez les animaux non humains. Dans de nombreux pays, la nomenclature locale pour un vétérinaire est un terme réglementé et protégé, ce qui signifie que les membres du public sans les qualifications préalables et / ou l'autorisation d'exercer ne peuvent pas utiliser le titre. Dans de nombreux cas, les activités qui peuvent être entreprises par un vétérinaire (telles que le traitement des maladies ou la chirurgie chez les animaux) sont limitées uniquement aux professionnels qui sont enregistrés en tant que vétérinaire. Par exemple, au Royaume-Uni, comme dans d'autres juridictions, le traitement des animaux ne peut être effectué que par des médecins vétérinaires enregistrés (à quelques exceptions près, comme les travailleurs paravétérinaires), et il est illégal pour toute personne non enregistrée de se faire appeler un vétérinaire, prescrire des médicaments ou effectuer un traitement.

Les papyrus égyptiens de Lahun (1900 av.J.-C.) et la littérature fermée de l'Inde ancienne offrent l'un des premiers écrits de la médecine vétérinaire. L'empereur bouddhiste de l'Inde, Aśoka, a ordonné ce qui suit: "Dans toutes les Vétérinaire pour chien ens du royaume, deux types de médicaments (चिकित्सा) seront fabriqués, des médicaments pour les personnes et des médicaments pour les animaux. Lorsqu'il n'y avait pas d'herbes médicinales pour les personnes et les animaux, ils doivent être achetés et plantés. "Les premières tentatives d'organiser et de réglementer la pratique vétérinaire tendent à se concentrer sur les chevaux, en raison de leur importance en tant que moyen de transport et arme de guerre. Pendant le Moyen Âge (1356), le maire de Londres Henry Picard, préoccupé par la mauvaise qualité des soins donnés aux chevaux dans la ville, a demandé à tous les maréchaux-ferrants opérant dans un rayon de sept miles de la ville ils forment une «bourse» pour réglementer et améliorer leurs pratiques. Cette dernière instance a conduit à la création de la Guilde des maréchaux-ferrants en 1674. Le premier traité complet sur l'anatomie d'une espèce non humaine correspond au livre Anatomia del Cavallo (Anatomie du cheval), publié par l'italien Carlo Ruini en 1598.

Châtillon est une commune française du département des Hauts-de-Seine en Vétérinaire pour chien en Île-de-France, au sud-ouest de Paris. Concernée par le périmètre d'une installation nucléaire, la commune est membre de la Commission locale d'information auprès du CEA de Fontenay-aux-Roses. Châtillon borde notamment les communes de Bagneux (à l'est), de Clamart (à l'ouest), de Malakoff (au nord-ouest), de Montrouge (au nord-est), et de Fontenay-aux-Roses (au sud). Châtillon est traversée par la Coulée verte du Sud parisien qui reprend une partie de la via Turonensis, l'un des quatre chemins de France du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. Châtillon s'est appelée au cours du temps Castellio, Châtillon-lès-Bagneux, Châtillon-sous-Bagneux. Châtillon serait un dérivé, sans doute mérovingien, du bas latin castellum, diminutif de castrum, accompagné du suffixe -ionem. Castrum désigne d’abord tous les types de forteresse, depuis le simple donjon jusqu’à l’enceinte urbaine, puis se spécialise dans le sens de « château fort » et se réduit ensuite à celui de « grande maison de plaisance ». Le nom « Châtillon » est adopté en 1896 lorsque le conseil municipal décide d’abandonner le qualificatif « sous-Bagneux ». En 1192, sous le règne de Philippe Auguste, apparaît pour la première fois le nom de Châtillon, Castellio qui veut dire petit château en latin. On ignore l'emplacement de ce château ; peut-être sur les hauteurs de Châtillon, peut-être à l'emplacement du vieux bourg où était la ferme seigneuriale. La seigneurie de Châtillon appartint à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés jusqu'en 1600, laquelle la vendit à Richard Tardieu. En 1417, Jean, duc de Bourgogne, campa à Châtillon, y resta huit jours pendant lesquels son armée pilla les villages d'alentour, puis il alla faire le siège de Montlhéry. Vue du premier étage du château folie de Châtillon avec la vue sur Paris, XVIIIe siècle. De 1790 à 1795, Châtillon, qui porte pendant un temps le nom révolutionnaire de Montagne-l'Union, est un canton du district de Bourg-de-l'Égalité6 (Bourg-la-Reine). En 1815, les Anglais qui avaient passé la Seine à Sèvres, occupèrent les hauteurs de Châtillon et pillèrent le village. En 1815, il y eut sur le Plateau de Châtillon, un engagement très vif avec les troupes anglaises et prussiennes. Lors de la guerre de 1870, Châtillon fut le théâtre de deux batailles : la première du 17 au 19 septembre et la seconde le 13 octobre. La tour aux Anglais, à proximité du Plateau de Châtillon, sur le territoire de Clamart, fut détruite par les forces allemandes le 2 janvier 1871. Jusqu’à la loi du 10 juillet 19647, la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais au département des Hauts-de-Seine à la suite d'un transfert administratif effectif le 1er janvier 1968. La commune constituait historiquement le canton de Châtillon. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, le canton s'est agrandi à une seconde commune, avec Fontenay-aux-Roses. L'EPT exerce, outre les compétences attribuées par la loi à cette catégorie d'établissement public de coopération intercommunale (EPCI), celles que les communes avaient transféré aux anciennes intercommunalités supprimées à l'occasion de sa création :

Communauté de communes de Châtillon-Montrouge (Montrouge, Châtillon) ;

Communauté d'agglomération des Hauts-de-Bièvre (Châtenay-Malabry, Antony, Bourg-la-Reine, Le Plessis-Robinson, Sceaux dans les Hauts-de-Seine – les deux communes essonniennes de Verrières-le-Buisson et Wissous ayant rattachées à la communauté d'agglomération Communauté Paris-Saclay) ;

Communauté d'agglomération Sud de Seine (Fontenay-aux-Roses, Bagneux, Clamart, Malakoff).

C’est en 1192 qu’apparaît, pour la première fois dans les textes, le nom de CHÂTILLON : ce ne sont que quelques maisons rurales au croisement de deux routes, groupées autour d’un “petit château“ dont il ne subsiste rien, pas même son emplacement exact. Le village est alors un fief de l’Abbaye de Saint-Germain-des-Prés et comporte déjà sa première chapelle, sous le vocable de Saint-Eutrope. Le cœur de Châtillon (le “vieux bourg“), que nous connaissons aujourd’hui, s’est constitué entre le XIIIe et le XVe siècles, autour d’activités rurales, mais il n’échappe pas aux conséquences de sa situation géographique, sur le rebord d’un plateau qui constitue un véritable balcon sur Paris. C’est ainsi qu’en 1417, le duc de Bourgogne, Jean Sans Peur, tente, depuis ce site, de s’emparer de Paris : la même l’histoire se reproduira bien plus tard !

AU XVe siècle, le village est érigé en paroisse et, le 17 juillet 1541, l’église est dédiée à Saint-Philippe – Saint-Jacques. Dévastée et ruinée par les guerres de religion, l’Abbaye vend son fief, en 1597, à un Conseiller du Roi, Richard Tardieu. La ruine de cette famille, au XVIIe siècle, permet à Colbert de rattacher la seigneurie de Châtillon à sa baronnie de Sceaux, qui revient, en 1700, au duc du Maine, fils de Louis XIV et de Madame de Montespan (et époux de la duchesse qui fit les “nuits de Sceaux“), puis à leur fils, le comte d’Eu, enfin au duc de Penthièvre. C’est sous l’administration de ce dernier que Châtillon devient une commune à part entière. C’est au début du XVIIIe que se développent, à Châtillon, les « folies », ces “maisons à la campagne“ dont raffolent la bourgeoisie parisienne et les artistes, dont ne subsiste que celle de la rue de la Gare (inscrite à l’Inventaire supplémentaire des Monuments historiques). Elle verra y séjourner successivement le danseur et chorégraphe Claude Ballon (à l’initiative du bâtiment actuel, en 1705) et la comédienne Charlotte Desmares (grâce au banquier Hogguer). Parmi beaucoup d’artistes, le jeune Voltaire séjournera à Châtillon… Charlotte Desmares sera d’ailleurs la créatrice de sa première pièce. La qualité du site châtillonnais vaudra également, en 1765, l’érection de la tour de Croÿ, véritable observatoire, perpétuée, après sa destruction en 1870, par celle du cafetier Biret. Dans le même temps, le bourg rural s’est ouvert à l’artisanat, grâce à l’eau et au sable qui facilitent les activités de faïencerie (la première remonte au XVIIIe) et de fonderie. Lachenal, pour la céramique ou Rudier et Thinot pour le bronze en sont les exemples les plus fameux. Le calcaire et le gypse, qui constituent le sous-sol de la commune, sont à l’origine d’une importante activité d’extraction de la pierre à travers tout le XIXe siècle et jusqu’au début du XXe. Le très rare “treuil de carrière“ de la rue Ampère (inscrit à l’Inventaire supplémentaire des Monuments historiques) témoigne de cette activité… mais aussi le sous-sol miné par les carrières d’une grande partie du territoire communal. Les Châtillonnais élisent leur première municipalité le 3 février 1790. Au cours du XIXe, le village ne va pas cesser de croître, passant de 759 habitants en 1801 à 5 100 en 1919, et de se développer. Le cimetière est déplacé sur son site actuel en 1827, une école de fille est ouverte en 1816, la mairie actuelle, avec une école de garçons, est construite entre 1838 et 1851, les gendarmes s’installent en 1845 et la Maison de retraite Sainte Anne d’Auray est fondée en 1861. La Guerre de 1870 puis la Commune frapperont durement Châtillon, comme les villes alentour: combats contre les Bavarois en septembre et octobre 1870, combats entre fédérés et troupes régulières en avril 1871. Le 22 avril, le clocher de l’église s’effondre. C’est après la Première guerre mondiale que l’agglomération urbaine se développe vers le nord et l’ouest, par morcellement des parcelles exploitées pour la culture ou les carrières. Les maisons rurales cèdent la place aux pavillons de banlieue de la Loi Loucheur et les premiers immeubles apparaissent le long des voies de circulation. Mais, déjà, deux lignes de tramway reliaient Châtillon à Paris, électrifiées en 1903. De cette même période date l’entrée de notre commune dans l’ère industrielle, avec l’installation de l’usine Brandt en 1925, qui deviendra Nord-Aviation puis Aérospatiale, enfin MBDA. Une partie de l’histoire aéronautique française a été écrite à Châtillon. Après le départ définitif de l’entreprise, c’est un nouveau quartier qui est sorti de terre en conservant deux beaux témoins de la période industrielle. Dans les années 30, Stavisky entreprend la construction d’une maison de santé mutualiste (aérium) qui deviendra, après la guerre de 39/45, le siège de l’ONERA, et les «Chantiers du Cardinal» édifient entre 1931 et 1933 l’église Notre-Dame du Calvaire, accompagnant le développement de la ville « de l’autre côté de la nationale » (aujourd’hui RD 906). La ville prendra sa forme actuelle dans les années 50, avec la percée de l’avenue de Verdun, et dans les décennies 60/70, avec un urbanisme de barres et de tours heureusement abandonné aujourd’hui. Sa population est, alors, d’un peu plus de 27 000 habitants. Depuis le milieu des années 80, le “vieux bourg“ a été réhabilité, en préservant ses formes d’origine et en mettant en valeur tout ce qui pouvait l’être. Les terrains à l’abandon ou à usage de dépôts ont été urbanisés, soit en quartiers d’habitations, soit en zone d’activités (qui faisaient cruellement défaut), avec le souci de respecter l’échelle humaine, de diversifier les types de logements et de faciliter l’accueil de nouvelles entreprises. Plusieurs parcs ont été créés, les équipements publics ont été multipliés et rénovés, notamment pour la petite enfance et les écoles, la ville a été fleurie et animée. La vie culturelle et sportive est particulièrement développée : elle est riche et diversifiée, créative et ouverte à tous, en y intégrant le rôle des associations. La solidarité s’y fait discrète mais efficace. Enfin, l’éco-responsabilité est une “ligne de conduite“ que la Ville s’efforce de faire partager à tous les Châtillonnais. En ce début de XXIe siècle, Châtillon poursuit, comme elle l’a fait depuis ses origines, son adaptation aux multiples évolutions du monde actuel, sociétales, technologiques, environnementales, pour répondre aux besoins d’une population de plus de 37 000 habitants. Elle accueille des entreprises innovantes comme, parmi beaucoup d’autres, Orange Gardens, le site de l’innovation d’Orange. Avec la mise en place du tramway T6 et dans quelques années la ligne 15 du Grand Paris Express, Châtillon est au cœur d’un réseau de transports publics performant. Aux portes de Paris et, depuis le 1er janvier 2016, au cœur de la Métropole du Grand Paris et du nouveau territoire intercommunal Vallée Sud Grand Paris, l’ambition reste de faire de ce “coin de banlieue“ une “vraie“ ville…

 

Vétérinaire pour chien en               Île-de-France

Vétérinaire pour chat en Hauts-de-Seine

Arrondissement   Antony

Cabinet vétérinaire dans la Métropole du Grand Paris

Maire

Mandat Jean-Pierre Schosteck

2014-2020

Code postal          92320

Code commune  92020

Démographie

Gentilé   Châtillonnais

Population

municipale           37 355 hab. (2017 en augmentation de 6,85 % par rapport à 2012)

Densité  12 793 hab./km2

Géographie

Coordonnées       48° 48′ 00″ nord, 2° 17′ 24″ est

Altitude Min. 78 m

Max. 164 m

Superficie             2,92 km2

Élections

Départementales Canton de Châtillon

(bureau centralisateur)

Législatives          Douzième circonscription