Clinique Vétérinaire Voltaire

L'animal au coeur de notre attention

VETERINAIRE A LE PLESSIS ROBINSON



VÉTÉRINAIRE A LE PLESSIS ROBINSON

Les vétérinaires apprennent à soigner les animaux. Les animaux ne suffisent pas à certains êtres humains pour payer, où ils ont de l'oxygène, leurs orteils sont malades. Le sérum de cravate est nécessaire pour que les animaux subissent une réparation. Dans le passé, seuls les chevaux et autres vapeurs étaient réparés. De nos jours, les adolescents réparent les animaux domestiques. Les t-shirts explorent les nageoires et répondent à nos besoins. Les résumés des vétérinaires portent sur les animaux dans les zoos. D'autres vétérinaires s'inclinent devant les dentistes pour animaux de compagnie. Les vétérinaires sont indispensables en agriculture. Les animaux domestiques ne sont jamais vieux, donc les gens devraient avoir assez de lait, de viande ou d'œufs, et certains sont faisables. Cependant, les humains ont tendance à fumer plus sérieusement, tandis que tous les animaux sont plus sensibles aux maladies. Le vétérinaire aide le fermier, donc les animaux sont en bonne santé. Plus tôt, lorsque les seuls vétérinaires étaient là, les médecins du cheval aidaient les chevaux et autres animaux, par exemple, à consommer. Teir a profité du gomul, connu du conseil. Les animaux de Mong ymisk seront soignés dans les cliniques vétérinaires. Les chiens doivent être tenus en laisse et les chats doivent s'allonger dans un panier pour ne pas aller se battre et peuvent donc infecter les animaux. Le vétérinaire examine l'animal et demande au propriétaire quels sont les symptômes de l'animal. Les premières facultés de médecine vétérinaire d'Europe ont été détruites au XVIIIe siècle. Au Danemark, une prolongation de 6 ans a été nécessaire à Den Kongelige Veterinær et Landbohøjskole, avant de devenir vétérinaire.

Le Plessis-Robinson est une commune française du département des Hauts-de-Seine en Vétérinaire pour chien en Île-de-France, dans l'arrondissement d'Antony, au sud-ouest de Paris. Constituée à l’ouest par un plateau adossé à celui de Châtillon et à l’est par des coteaux escarpés et boisés, la commune bénéficie d’un cadre naturel particulièrement agréable, avec notamment son point culminant (178 mètres, le plus élevé du département) qui couvre la haute vallée de la Bièvre d'où l'on jouit d'une vue exceptionnelle de la banlieue sud de Paris (Terrasse du Parc Henri-Sellier). La commune est située à 6 km des portes de Paris. Son territoire est limitrophe de ceux de quatre communes : Clamart, Fontenay-aux-Roses, Sceaux, Châtenay-Malabry. Le quartier a été construit entre 1991 et 2005 autour du Vieux Plessis, l'ancien village du Plessis-Piquet regroupé autour du château devenu hôtel de ville en 1931 et de l'église Saint-Jean-Baptiste. C'est à l'initiative de Philippe Pemezec, élu maire en 1989, que l'architecte François Spoerry, le père de l'architecture douce, a dessiné ce quartier de centre ville, autour de sa Grand'Place et d'une Grande rue. Ces douze hectares sont construits sur le modèle de l'architecture classique par les architectes Xavier Bohl (qui a succédé à François Spoerry mort en 1999), Marc et Nada Breitman, Marc Farcy. Le Cœur de Ville, en face du parc Henri-Sellier, compte trois jardins publics : le jardin de Sertillanges, les jardins de l'Hôtel-de-Ville, le parc de l'Orangerie. Les équipements publics sont, outre l'hôtel de ville, un centre administratif municipal, un centre municipal de santé, rebaptisé Robert-Fasquelle en 2012, l'école maternelle de la Ferme, l'école élémentaire Anatole-France, deux crèches, le club destiné aux retraités. Un parking souterrain est aménagé sous la Grand'Place et un parking public aérien est accessible en face du grand cèdre du Liban. Le Cœur de Ville compte une vingtaine de commerces, dont un hôtel-restaurant, six restaurants, un supermarché, des commerces de bouche et d'habillement. Un parcours historique fléché est organisé autour du quartier. Résidence La Pépinière ou quartier de La Pépinière ou encore La Pep's pour les plus jeunes, La Pépinière est un quartier d'habitation situé à l'est de la ville du Plessis-Robinson, séparé par la rue Arthur-Ranc du centre chirurgical Marie-Lannelongue (spécialisé dans la cardiologie), bordé au sud par l'avenue de la Résistance (D75) au nord par les rues Pasteur et Boris-Vildé, à l'ouest par l'avenue Raymond-Croland. Le quartier est composé de 10 bâtiments de couleur saumon (similaire à la cité-jardin de la Butte-Rouge) de 5, 4 ou 3 étages disséminés sur une plaine de verdure accidentée entrecoupée de 2 zones de stationnements découvertes, de 2 terrains de jeux (actuellement non équipés) et d'un parking souterrain. Le carré que forment les rues délimitant La Pépinière est aussi occupé par une dizaine de pavillons donnant sur l'extérieur, une barre d'appartement autonome en brique rouge avec garages et commerces au rez-de-chaussée et une résidence privée de cinq bâtiments et stationnements extérieur. Ce quartier est desservi par les lignes de bus 395, 390, 194 de la RATP grâce aux arrêts sud Edmond About, Hôpital Marie Lannelongue et est avec Pasteur, la gare RER B Robinson, se situe à 5 minutes de ce même endroit. Un arrêt de bus du service Paladin desservant l'hôpital est placé dans la rue Arthur-Ranc.

Il est également possible de se spécialiser en tant que spécialiste européen ou spécialiste nord-américain, connu sous le nom de diplomate dans le domaine d'études, par ex. en chirurgie vétérinaire, anesthésie, immunologie, pathologie et plus encore. Il nécessite généralement 1 an de stage / service + stage + résidence (assistant vétérinaire) + un examen difficile où jusqu'à 75% échouent. Cette formation est souvent suivie à l'étranger, car il est nécessaire que la personne avec laquelle vous travaillez ait engagé un diplomate dans le domaine dans lequel vous souhaitez vous spécialiser. http://www.ebvs.org/ a tous les détails. Il a été difficile pour les Européens de suivre une formation spécialisée en Amérique du Nord car la plupart des écoles vétérinaires européennes ne sont pas agréées aux États-Unis ou au Canada. Les vétérinaires norvégiens se sont fortement concentrés sur la sécurité sanitaire des aliments et l'environnement. Ces derniers temps, l'accent a été mis sur la santé des poissons / l'aquamédecine. La sécurité sanitaire des aliments est un domaine important à l'échelle internationale où les vétérinaires ont un rôle de premier plan. Le point de départ est que les vétérinaires, grâce à l'éducation et à la pratique, ont une bonne base de connaissances en matière de santé animale et de maladies infectieuses. L'évaluation de la sécurité sanitaire des aliments repose sur deux conditions. Premièrement, la sécurité sanitaire qui continue de transmettre des maladies avec des aliments et inclut le cycle des animaux vivants à la nourriture est sur la table (par exemple, la brucellose avec du lait, ou la trichinose du porc ou la salmonelle de la volaille), qui comprend le diagnostic et le contrôle des infections, le bien-être des animaux et hygiène de production. Le deuxième élément est l'assurance de la qualité (qui comprend également la prévention des maladies) à travers le processus de production et la transformation des aliments, l'emballage, le stockage et le transport jusqu'à nos jours. En général, toutes les denrées alimentaires commercialisées doivent avoir été soumises à une inspection vétérinaire ou à une inspection. Cela se reflète également au Collège vétérinaire norvégien, qui accorde une grande importance à ce domaine. L'École norvégienne des sciences vétérinaires s'est également concentrée sur des programmes de formation continue sous la forme de programmes de maîtrise internationaux en sécurité alimentaire (médecine aquatique) et en médecine aquatique.

La première mention qui nous est parvenue date de 839 où un Concile synodal partagea les terres appartenant à l'Abbaye de Saint-Germain-des-Prés entre l'évêque et les chanoines de l'église Saint-Étienne : Plessiacus justa Castenetum (« le plessis à côté de Châtenay »), un plessis étant une technique traditionnelle de taille des haies vives par fendage (plessage) des branches, qui permettait de clôturer des pâturages et cultures, les protégeant ainsi des bêtes. Celles-ci furent donc rattachées à Châtenay. Puis au xiiie siècle, cette terre prend le nom de son seigneur : Plessis-Raoul et au xve siècle le hameau s'appelle Plessis-Picquet du nom de son seigneur Jean de La Haye dit Picquet. Le 30 décembre 1793, soit le 10 nivôse de l'an II de la République, la commune prend le nom de Plessis-Liberté et retrouva son nom de Plessis-Picquet à la fin de cette période révolutionnaire. Le terme « Robinson » vient du roman de Johann David Wyss, Le Robinson suisse (lui-même inspiré du Robinson Crusoé de Daniel Defoe). Dans les années 1840, un restaurateur parisien, Joseph Gueusquin, découvre le Plessis-Picquet et y construit en 1848 une guinguette, avec cabanes dans les arbres comme dans Le Robinson suisse, qu'il nomme « Au Grand Robinson »4. Le succès du lieu est tel que d'autres guinguettes apparaissent, et que le quartier finit par prendre le nom de « Robinson ». Le 12 novembre 1909, la commune du Plessis-Piquet est rebaptisée Plessis-Robinson, par décret du président Fallières, répondant ainsi aux vœux de la municipalité. Pendant des siècles, Le Plessis-Robinson n’est qu’un petit village d’Ile-de-France dont les habitants, regroupés autour de l’église et du château, vivent de l’agriculture. L’histoire du Plessis se confond alors avec celle de ses châtelains, de Jean Piquet de La Haye à Louis Hachette en passant par Jean-Baptiste Colbert, le maréchal Pierre de Montesquiou d’Artagnan, ou encore le duc de Massa. La création des premières guinguettes au milieu du XIXe siècle fait entrer rapidement le village dans la modernité. Robinson devient alors un lieu à la mode attirant une foule de Parisiens en goguette. Puis, à partir des années 1920, la construction des cités-jardins modifie radicalement le visage du Plessis-Robinson qui se transforme en une véritable ville.

Un vétérinaire ou docteur en médecine vétérinaire (dr.vet.med. Ou DVM) est un expert dans le domaine des sciences biomédicales. La médecine vétérinaire est étudiée pendant 6 ans (12 semestres) à la Faculté de médecine vétérinaire (en Croatie), après quoi le vétérinaire est formé pour:

travailler en médecine vétérinaire primaire,

résoudre le problème de la santé publique vétérinaire,

protection de l'environnement humain,

diagnostics de terrain, cliniques et de laboratoire,

lutte préventive contre les maladies infectieuses et les zoonoses,

concevoir et participer à l'élaboration de programmes de développement et d'amélioration de la production animale d'aliments et de produits d'origine animale,

développer toutes les formes de protection animale et environnementale,

favoriser l'éthique du traitement humain des animaux.

Le blason : Le blason du Plessis-Robinson, qui figure toujours sur le logo de la Ville, a été créé en 1942. Chacune de ses composantes fait directement référence à l’histoire et à l’identité de la ville. Ainsi, les deux cercles rouges correspondent aux armoiries du maréchal Pierre de Montesquiou d’Artagnan, seigneur du Plessis au XVIIIe siècle. La couleuvre bleue évoque, elle, le blason de Jean-Baptiste Colbert, puissant ministre de Louis XIV qui posséda le château brièvement. Le hibou nous rappelle que pendant longtemps, les habitants du vieux bourg du Plessis furent désignés sous ce nom. L’arbre désigne clairement, quant à lui, le quartier de Robinson dont la première guinguette fut créée en 1848 dans un très vieux châtaignier. Enfin, le célèbre blason des rois de France, les trois lys d’or sur fond bleu, fait référence à l’achat par Louis XIV en 1682 de la seigneurie du Plessis. Ce blason offre ainsi un résumé de l’histoire robinsonnaise mettant en valeur ses deux seigneurs emblématiques, Colbert et Montesquiou d’Artagnan, et ses deux quartiers principaux, le vieux Plessis, et Robinson.

 

Vétérinaire pour chien en               Île-de-France

Vétérinaire pour chat en Hauts-de-Seine

Arrondissement   Antony

Cabinet vétérinaire dans la Métropole du Grand Paris

EPT Vallée Sud Grand Paris

Maire

Mandat Jacques Perrin (LR)

2020-2026

Code postal          92350

Code commune  92060

Démographie

Gentilé   Robinsonnais

Population

municipale           29 100 hab. (2017 en augmentation de 1,49 % par rapport à 2012)

Densité  8 484 hab./km2

Géographie

Coordonnées       48° 46′ 52″ nord, 2° 15′ 38″ est

Altitude Min. 86 m

Max. 172 m

Superficie             3,43 km2

Élections

Départementales Canton de Châtenay-Malabry

Législatives          12e circonscription des Hauts-de-Seine